Témoignage d’une hôtesse de téléphone rose  -  Les aventures de Clara  - Mes 30 ans, un cadeau inavouable.

Une semaine avant de fêter mes 30 ans, je rentre du travail, je gare ma voiture, je suis juste devant l’entrée de mon immeuble lorsque  j’entends crisser des pneus, à peine le temps de me retourner qu’un truc  vient sur ma tête me priver de la vue, une sorte de sac/ cagoule, je panique, je sens des mains fermes m’en poigner, me soulever, j’ai très peur et cris, mes mains sont tirées dans le dos et attachées à l’aide de je ne sais quoi, alors on me jette à l’intérieur d’un véhicule. Il y a des voix d’hommes, deux que je ne connais absolument pas, j’ai vraiment peur, c’est vrai que ma tenue vestimentaire m’est souvent reprochée par ma famille, des voisins, des collègues un peu vieux jeu ils me trouvent trop vulgaire, trop aguicheuse, trop salope et à cet instant je me suis dit «  merde ! Ils avaient raison, j’ai trop cherché  ».

Sur le trajet j’essaie de parler, mais une grande gifle vient atterrir sur ma joue ce qui me fait basculer en arrière et taper le dos contre la paroi de la camionnette, j’ai mal et comprend que je dois me taire. J’essaie d’écouter les bruits qui m’entoure, de reconnaitre le trajet, sauf que j’ai tellement les chocottes que je suis perdue. Un silence survint nous sommes arrivés à destination. Les portes s’ouvrent, j’ai toujours les yeux bandés, on me pousse en avant je chute sur le sol, mes genoux s’explosent contre le goudron, sa brûle. Puis on m’ordonne de me relever, je sens sur mes bas le sang qui coule le long de mes tibias jusqu’à l’intérieur de mes chaussures, mon avant bras m’est tendu et on me fait marcher, mes pieds glissent dans mes escarpins humide de sang. Je remarque  des drôles d’odeurs,  d’essence, de cambouis, de mazout, d’huile, de gomme. Dans cet endroit les voix raisonnent, je suppose que nous sommes dans un hangar ou garage, mon corps est déposé sur une chaise froide surement en fer et on me ligote au niveau des poignets et chevilles, mes jambes sont assez ouvertes, je suis terrifiée, je tremble, j’ai mal, je pleure.

 Je reçois à nouveau une baffe qui me fait mordre la langue et je saigne, le goût du sang dans ma bouche à celui du fer, ma jupe est relevée j’essaie de parler tout en pleurant, ma voix est tremblante : «  je ferais tout ce que vous voulez mais ne me tué pas ! » Un homme me répond «  On espère bien ma chère ! Vous ne portez même pas de culotte » A cet instant je me fais doigter la chatte sans ménagement, très profondément, j’essaie tant bien que mal de me débattre mais je n’y arrive pas du tout. Il y a plusieurs mains entre mes cuisses qui me masturbent la chatte et le cul, parfois on me pince la peau et me la tord, on tire sur mes lèvres, franchement je souffre  et j’ai toujours aussi peur de ce qui va suivre, je me pisse dessus. Je prends un coup dans le torse qui me fait basculer en arrière, la chaise tombe dans un bruit métallique qui fait écho, mes coudes et le derrière de ma tête tapent sur le sol ce qui me fait souffrir. Je suis sur le dos, j’ai le souffle coupé, j’ai du mal à respirer, j’ai la tête qui tourne un peu, je suis légèrement sonnée. On m’enlève mes liens je suis libérée...enfin non… loin de là ! Mon répit est de courte durée, je suis balancée sur le ventre, cette fois c’est mon menton qui vient caresser le macadam, mes dents se claquent les unes aux autres, on m’ écartèle maintenue au niveau des bras et jambes, je sens une bite qui vient perforer d’un coup mon anus et me bourrer violemment, j’hurle, crie de douleur parce que je suis crispée, j’entends des soupirs, je suis partagée entre terreur et une drôle de sensation qui ressemble à de l’excitation je ne saurais mettre un mot sur mon ressentit, l’adrénaline certainement qui me procure ça ? Une chaleur liquide arrose mon corps, ils urinent sur mes cheveux, mon visage, je comprends qu’ils sont 3, un dans mon cul et deux qui se vidange sur moi.

Puis une bouche chuchote prêt de mon oreille : « bon anniversaire Clara ! » je reconnais cette voix, c’est lui ! Je suis soulagée et du coup je suis hyper excitée car je sais bien que je peux enfin me détendre, lâcher ce stress, cette angoisse, cette trouille. Il s’agit de mon ami, Bastien, je ne l’ai pas reconnu, faut dire qu’il ne porte pas son parfum habituel, il n’est pas fou il sait que je l’aurais reconnu les yeux bandés, cet enfoiré à mis de l’essence sur lui, pas con ! Il s’est même laissé pousser la barbe lui qui d’habitude est toujours rasé de prêt, je comprends pourquoi je ne l’avais pas vu depuis plus d’un mois, lui qui aime tant se retrouver dans ma gorge. Ah je le reconnais bien sur ce coup là et je l’adore pour ça.

J’ai toujours eu comme fantasme de me faire prendre contre mon gré, une sorte de viol organisé par plusieurs hommes. J’en avais discuter avec lui  il y a de ça un sacré moment, faut dire que nous avons une grande complicité, comme un couple mais sans l’être, des âmes sœurs de sexe avec des délires particuliers qui peuvent, parfois, choquer la plupart des personnes dites « normales », comme l’uro, la domination, l’humiliation, la zoophilie, le SM, la bisexualité, les partouzes…bref pas le genre classique que pratique monsieur et madame tout le monde, aucun sentiment n’est permis entre nous sauf une belle amitié, j’ai entièrement confiance en lui et lui en moi. Bastien à donc tout manigancer pour m’offrir mon fantasme, il a recruté deux mecs que je ne connaissais pas, en passant par un ami commun. C’est ainsi que j’ai donc connu Samuel et Mickael et gouté à leurs queues la 1ere fois.  J’ai donc profité de mon cadeau en restant les yeux inutilisables et en me faisant baiser comme une pute, c’est seulement une fois les choses terminées que j’ai pu voir à quoi ressemblait le deux nouveaux. Et franchement encore une belle surprise, deux beaux gosses enfin c’est surtout leurs bites qui m’intéresse mais leurs minois n’étaient pas désagréables à regarder. Des bons coups que je garde encore aujourd’hui sous le coude, enfin plutôt sous le nez …dans la bouche avec qui j’aime passer du bon temps, discuter et surtout me faire baiser, défoncer et pratiquer nos délires en communs. Et voilà pourquoi je n’oublierai  jamais mes 30 ans certes ce n’était pas le jour  « J »mais en même temps je m’en serais sans doute doutée, une fois encore je vous livre mes secrets et croyez moi il y en a d’autres.

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