Témoignage d’une hôtesse de téléphone rose - Les aventures de Clara - Gourdin des bois
Le 3 octobre dernier pendant midi, l’interphone sonne, la bouche encore pleine de tomate, je décroche et là surprise Bastien. Je lui ouvre la porte d’entrée de l’immeuble, il me rejoint à l’étage à mon seuil. Il m’embrasse avec un clin d’œil puis nous rentrons dans l’appart’ lui demandant si il souhaite manger quelque chose, son rictus accompagné de ses yeux dirigés sur ma chatte en dit long. Le coquin souhaite déjà passer au dessert, ok j’avale ma compote en 30 secondes tout en me déshabillant, ne portant plus que mes bas et mon soutif, debout devant lui j’attends qu’il pose ses mains et ses lèvres sur mon corps. Résultat : du bon pelotage, un délicieux cuni bien baveux et hop chopper par les cheveux tirer d’un coup, à 4 pattes sur le sol carrelé, il m’ordonne de sortir sa bite et de le pomper, ce que je fais évidement … pas tout de suite, je la sors de son ben, lui branle et je me prends une bonne gifle « je t’ai de sucer pas de branler ! » ma joue est chaude, je commence à le lécher à prendre sa queue dans ma bouche et bien avaler son membre, tout en profondeur, Bastien me tient la tête par derrière me force à le prendre entier, me maintenant dans cette position tout en me donnant des coups de reins, alors ses doigts viennent me pincer le nez. A moitié étouffée par son chibre , je salive comme une chienne, je bave, et j’adore être ainsi traitée, ses boules sont bien malaxées et tirées. Après un bon pipage son sperme bien chaud s’écoule au fond de ma gorge. Il me roule une galoche et me dit de me rhabiller que l’on doit sortir, une surprise m’attend ! Je me dis « ou la que va-t-il bien encore pouvoir m’arriver ? » impatiente et curieuse j’enfile ma robe, des escarpins ainsi qu’une veste.
Nous allons dans son pick up, Bastien sort de son sac un bandeau qu’il va me mettre sur les yeux, jusque là pas de souci. Confortablement installés nous roulons tranquillement vers une destination inconnue, sa main caresse ma jambe gauche jusqu’à remonter entre mes cuisses, me fouillant de temps à autre ma grotte qui commence à mouiller. L’auto stoppe, il descend, fait le tour et me rejoint, ouvre ma portière, m’attrape par le bras et me sort, je suis debout, mes talons s’incrustent dans le sol, de la terre ou du sable ce n’est pas évident pour marcher. Ses mains ôtent mes vêtements, je me laisse faire, il fait frais, déjà mes tétons se durcissent et pointent. J’entends un bruit métallique, il me demande d’enlacer une sorte de pilier rugueux qui en faite après l’avoir touché s’avère être un arbre, d’ailleurs j’entends le vent souffler dans les feuilles, à ce moment précis des menottes se fixent à mes poignets, je ne peux pas partir et ma vue est toujours inutile. Je sens des mains venir me caresser le dos le long la colonne vertébrale, descendre sur mon cul, m’écarter les fesses titillant mon anus, continuer la chute jusqu’à ma cramouillle et arriver à mon clito celui si m’est pincé. Je gigote de plaisir, puis une autre paire de mains viennent s’ajouter sur mes seins, me tirant les tétons, une bouche chaude vient aspirer mes tétons, les mordiller, les aspirer. Je ne sais pas qui est là, j’essaie de deviner, mais franchement je suis excitée et je m’en fou. Bastien est là et je sais que je peux lui faire confiance, je me laisse complètement aller. Les caresses se font plus insistantes plus fermes, plus malaxantes.
On me fait baisser la tête, cambrée en avant, deux bites raides sur mes joues me mettent des bifles, se frottent sur mon visage, personne ne parle, juste des soupirs, je tire la langue pour lécher, et une rentre d’un coup dans ma gorge l’autre reste à ma commissure, je suce un à un ses gourdins tendus et remarque qu’une des queues a un énorme gland, la forme sur ma langue me fait penser à la tête d’un champignon. Je les dévore le plus profondément possible jusqu’à en avoir des hauts de cœur. Un mec vient derrière moi, me doigte le fion avec un pouce tandis que deux autres doigts fouillent mon minou déjà bien huilé. Je trémousse de désir, et hop une queue dans le cul me fait crier un grand cou, putain que c’est bon, je me fais défoncer le cul à grand coup de bite, bien secs et profonds, les couilles tapent sur ma chatte comme j’adore, tenue par les hanches puis les épaules, toujours cambrée je sens une langue venir en dessous me manger la chatte, vue les coups dans le cul je reconnais bien là Bastien, il s’agrippe à mes seins fortement, m’encule comme une brute pour obtenir mes plus beaux cris de jouissance. L’autre me redresse se glisse entre l’arbre et mon corps, me chope par les cuisses et me lève en me plantant sa flèche dans la chatte, Bastien revient dans mon derrière, et me voilà en double pénétration. Humm un régal, mes seins frictionnent sur le torse de l’inconnu, serrée entre les deux il m’est impossible de bouger juste subir leurs coups de sexe raides. Je gémie de plus en plus, et rejouie, jetée à même le sol je tombe sur le flanc, ma crinière attrapée on me positionne à genoux, j’ouvre la gueule comme une bonne chienne bien éduquée, deux bites viennent se frotter à ma langue bien pendue, je les branlent, les aspirent, les bouffent, les sucent, comme une dingue jusqu’à obtenir de la bonne purée.
Bastien me rend la vue, j’ai du mal à ouvrir les yeux, au bout de quelques minutes j’y arrive, là un grand monsieur se tient devant moi, plutôt bon chic bon genre, jamais vue, il remercie Bastien pour ce cadeau et s’en va, je ne sais pas qui c’est, ni son prénom, je vois que nous sommes dans un bois, mes chaussures pleines de terre ainsi que mes genoux recouverts de débris de feuilles mortes, mes bas sont déchirés, je frissonne car je me refroidi, Bastien me prend dans ses bras et nous repartons chez moi prendre un café, j’apprends que le gourdin des bois est en faite une connaissance de Bastien rencontrée en Allemagne, il était dans le coin et à demandé à mon ami si il connaissait une salope pour se divertir un peu, du coup il a pensé à moi, trop sympa Bastien ! Et voilà comment j’ai chopé mon angine, d’où ma voix cassée tout le weekend et en début de semaine, merci d’ailleurs à vous de votre indulgence à mon égard. Des surprises comme cela j’en veux bien tous les jours hormis la voix cassée car malgré du sirop de corps d’homme j’ai eu du mal à récupérer mes capacités de gueularde.