Témoignage d’une hôtesse de téléphone rose - Les aventures de Clara - Bastien
Je vous dévoile aujourd’hui ma rencontre avec Bastien, ce grand ami dont je vous parle depuis un petit moment. Certains d’entre vous m’ont posé des questions « tu l’as connu quand, comment ? » alors voici ma réponse.
Je l’ai connu au Lycée en 1ère année de BAC. PRO., je faisais mes études pour être secrétaire, je sortais d’une rupture après 3 mois, j’étais triste de ne pas avoir réussi à être bien avec ce garçon. Comme toutes les lycéennes je trainais avec une bande de filles que je connaissais depuis le collège, sauf que franchement je me faisais chier à écouter leurs petites histoires, aussi leurs expériences sexuelles étaient bien étranges comparées à la mienne, pucelles, certaines ne voulaient pas coucher avant le mariage (cela avait le don de me faire sourire) d’autres trouvaient la fellation dégueulasse, la sodomie inimaginable, la levrette humiliante… devant elles je n’étais pas moi même, je répondais au pif cachant mes envies, je ne leur parlais pas de mes goûts déjà bien prononcés. Comment expliquer que j’avais été dépucelé à 15ans par un mec bien plus âgé, 1ere sodomie à 16 ans et sans préparation ni lubrifiant et que j’avais adoré au point qu’aujourd’hui je ne peux plus m’en passer, 1ère pipe à 17 ans avalant aussitôt le sperme, que j’avais déjà embrassée une fille sur la bouche et sur les lèvres du bas, impossible elles m’auraient jugé, rejeté. Oui je couchais avec des mecs lorsque l’occasion se présentait, pendant des bals de village, des sorties tardives, en boîte… j’étais déjà une petite salope. Mais voilà cette rupture faisait me poser des questions, prendre du recul. J’en ai discuté avec une fameuse copine dans un couloir après le cours d’économie sauf qu’un mec écoutait tout de A à Z, je racontais que j’aimais vraiment le sexe, que je pensais qu’à ça, que mon ex n’assurait pas et que c’était la raison pour laquelle je m’en étais lassée, je me suis livrée à elle.
Après les cours en fin d’après midi, ce mec qui laissait trainer ses oreilles partout est venu me voir, un mec pas comme les autres rien qu’en voyant sa tenue vestimentaire, style 1er de la classe avec des grandes marques, beau gosse, cheveux courts, brun yeux marrons, assez grand 1m 84, il m’offre un sourire et je lui rends, il m’accoste. J’ai écouté ce qu’il m’a dit et j’en suis restée scotchée, comment a t’il réussit à sortir une phrase si directe ? « Bonjour Clara, tu es perdue dans ta tête, dans ton corps, ta chatte n’est pas rassasiée, si tu veux t’amuser avec une vraie queue viens me voir, mais attention pas de sentiments !» Wahou ! Je suis rentrée chez moi, je n’ai pas trop repensé à lui, je me suis dit que c’était un connard. Le lendemain matin au portail, il était là et m’attendait, il me chuchote à l’oreille : « je me suis vidé les couilles en pensant à toi cette nuit » j’ai piqué un phare sauf qu’au fond de moi je ressentais de l’excitation en l’imaginant se branler. Il avait un culot dingue, je suis allée le voir à la pause, il trainait avec 4 autres garçons, je lui ai fait signe que je souhaitais lui parler en privé. Il écrase sa clope à peine commencée me crache au visage sa fumée avec ce regard confiant, je ne sais pas par où commencer, je cherche mes mots, bégaie, là il me chope les cheveux en arrière et m’embrasse en glissant sa langue au fond de ma bouche tout en frottant sa main sur ma chatte, encore une fois la surprise me scotch, il me dit « aucun sentiment ça marche ? Bon tu viendras vendredi soir devant le lycée à 20h j’y serais mais je n’attends pas une plombe sinon ce n’est même pas la peine de venir de me revoir ok ? Allez à dans deux jours » Il s’en va rediscuter avec ses potes, mes copines ont toutes vues et je remarque à leurs yeux que tout ce que j’avais raconté à été divulgué au reste de la troupe et que je ne suis plus là bienvenue, en m’approchant des filles, elles me tournent le dos et partent dans une autre direction. Je suis seule comme une conne, sous le porche, vexée. Une main me passe doucement sur le cul avec un doigt plus insistant au milieu de la raie je ne bouge pas, un baisé dans le cou, je croise son regard, c’est lui, il me fait un clin d’œil et s’en va, ça sonne je retourne en cours. Dans la classe je suis seule à ma table, comme une malade contagieuse, une lépreuse, je me sens vraiment pas bien et rejetée. C’est dur d’être trop différente pour leurs vies si tranquilles. Durant ces deux jours, je me fais chier, seule avec mes bouquins, mes pensées, jusqu’au vendredi soir. J’ai 18 ans je sors, de toute façon ma mère bosse, ma sœur est assez grande pour se garder et mon père au cimetière ne viendra pas m’en coller une pour m’en empêcher. Habillée en jeans, débardeur moulant légèrement décolleté, je me suis rasée le minou en ticket de métro au cas où, parfumée et je m’y suis rendue et j’attends. 20h pétante il arrive en BMW blanche, on reconnait bien là le fils à papa, il sort de la voiture toujours ce sourire agrafé sur son visage, habillé classe, je le revois avec son polo blanc en me disant qu’il est était assorti à sa BM. Il m’invite à monter en me tenant la portière, là j’ai un fou rire de gamine, je m’assoie et il démarre en faisant le kéké.
Nous voilà devant un hôtel, mais pas un truc miteux, non un 4 étoiles, j’en perds ma voix. Lui reste calme et amusé de me voir si perturbée, on va dîner, je n’ai jamais mis les pieds dans un restaurant, juste des fast food, je ne sais pas quoi dire, ni quoi faire, ni comment. Il me met à l’aise, me caresse la main et me demande si je vais bien. Sur le coup j’ai l’impression d’être dans un autre monde et j’ose lui expliquer que je ne sais pas ce que je fou ici, que je doute de moi. Sa réponse : « tu viens prendre du plaisir, apprendre comment devenir toi-même et assumer » A la fin du repas je demande à téléphoner, je m’assure que ma petite sœur va bien et lui demande de laisser un mot pour moi disant que je ne rentrerais pas de la nuit, elle a l’habitude et me rend ce service de temps en temps, je lui en dit pas trop on sait jamais, si la mère rentrait plutôt et la travaillait mentalement pour savoir où j’étais mieux vaut rester discrète.
Une fois dans la chambre, une question me vient à l’esprit : « au faite c’est quoi ton prénom ? »C’était juste à cet instant que je me souciais de savoir qui il était car tout le monde le surnommait Fiéro au bahut. Il s’approche de moi, glisse ses doigts dans mes cheveux mi long, m’embrasse, me caresse la joue, me regarde dans les yeux et me donne enfin cette information « Bastien ». Je lui rends son baisé, lui passe mes bras autour du coup, lui enlève son polo, on se déshabille mutuellement et rapidement, nous sommes en sous vêtements, il me porte dans ses bras m’allonge sur le lit, vient sur moi et me roule une grosse pelle. Il astique son membre contre ma chatte, m’enlève mes sous vêtements, et là je pars en sucette comme à chaque fois, c’est le cas de le dire, je me mets à genoux, le pousse à se mettre sur le dos, lui enlève son caleçon, commence à le branler, lui lèche et le suce, Bastien me sort : « hé c’est bien ce qu’il me semblait et c’est pour ça que je te voulais » je prends plaisir à le fellationner jusqu’à avoir son sperme dans la bouche et j’avale à sa grande surprise « ho décidément tu me plais toi, on va bien s’entendre je le sens » je me tais en me disant qu’il va attendre la nuit avant de vouloir baiser, du coup je commence à me lever du lit, à cet instant il me retient et me demande ou je vais, il insiste pour que je reste allongée . A mon tour d’être surprise, il m’écarte les jambes et vient me faire un cuni, le meilleur de tous, il me confesse qu’il n’aime pas les poils et préfère les chattes épilées intégralement. D’habitude les mecs que j’avais eu, une fois les couilles vidées, dormaient, ou restaient affalés comme des merdes à attendre de rebander avant de la réutiliser sans prendre conscience de mon désir, et là enfin on prenait conscience de mes envies, il m’a doigté la grotte et même le cul à ma demande, j’en ai jouie sur sa langue. Je n’ai pas eu le temps de refroidir, Bastien est revenu sur moi se frotter et me baiser, je me souviens encore de cette excitation, de cette sensation d’être totalement dépucelée car enfin je baisais comme il se doit, nous avons jouis presqu’ensemble, presque car il a juté en m’entendant gueuler.
Nous nous sommes allongés, avons discuté de nos vies, nos enfances si différentes, nos fantasmes. Nous nous sommes endormis. Durant la nuit, sur le côté sa queue bandait contre mes fesses, j’ai passé la main pour la toucher, et j’ai eu encore envie de sucer, je me suis retournée, glissée sous la couette et hop je le suce, il dort, je m’en fou moi c’est sa verge que je veux, au bout de quelques instant il se réveille, me cherche des mains tapotant la couverture, il éclate de rire se rendant conte que je suis entrain de le pomper : « mais t’es pas possible toi ! », je lâche pas son chibre et continue, je le masturbe en même temps et je reçois mon dû, son jus. Je me sers contre lui et ajoute « désolée j’avais trop envie »il m’explique qu’il ne faut pas que je sois désolée, que c’était bon et me souhaite une bonne nuit. Je me rendors, soudain une drôle de sensation met fin à mon sommeil, ce copieur est entre mes jambes me bouffant la chatte et il rétorque : « désolé, j’avais trop envie » du coup je lui réponds la même réplique qu’il m’avait donné. On rigole et ça me fait un bien fou. Une fois bien chauffée par sa langue, je lui demande de me prendre par derrière, je suis à 4 pattes, bien cambrée, il vient poser son gland sur ma rondelle et pousse, et il se lâche en m’enculant à fond, comme un bourrin, j’adore, et ne me plains pas au contraire je gémie beaucoup, ce qui vaut des coups dans le mur par les voisins. Je lui réclame de gicler dans ma bouche, ce qu’il fera. Au petit matin, cette nuit divine achevée, nous avons le droit à un petit déj’ extra, et je me ressers une bite en gorge profonde et surtout le miel qui va avec. Bastien me remercie pour cette soirée et me propose d’en vivre d’autres si j’en ai envie, que la seule règle : aucuns sentiments amoureux, je suis bien évidement ok avec ça.
Cette première nuit ensemble est vraiment un souvenir que je garde au fond de moi et la partager avec vous « me fait drôle »comme un grand secret divulgué. Lors de mes années de lycéenne je restais avec sa bande, devenue un membre de cette famille de sexe, il m’a prise sous son aile ainsi je suis devenue une amie, confidente, conseillère, amante, maitresse, sœur, espionne, vide couille, objet ,chienne. .. Petit à petit nous avons découvert de nouvelles choses, on s’échangeait des infos, des bons plans, des copains, copines, bons coups, adresses, …il m’a apporté beaucoup de choses, mais il m’a appris à m’écouter, à me faire confiance et à assumer ce que je suis : une salope ! Aujourd’hui encore, il est toujours présent pour m’épauler durant les galères de la vie, les peines, mais aussi et surtout pour les délires, la baise, en instructeur de relations sexuelles, il est tout pour moi, mon âme sœur… de sexe…et non je ne l’aime pas d’amour c’est la règle : )