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Le blog des animatrices de téléphone rose, les dernières news.

Le telrose.onlc.fr c’est LE téléphone rose pour du sexe au tel avec de vrais cochonnes.
Dialogue coquin et amour au téléphone avec de vraies femmes qui aiment le sexe, elles sont toutes sur le 08 92 222 402

Anecdote

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Le numéro de l'oeuvre de charité renvoyait à une messagerie rose

Coffee Boy Une société américaine a dû rappeler toutes ses boîtes de céréales car elles comportaient un numéro de téléphone qui débouchait sur une messagerie rose au lieu d'une oeuvre de charité en faveur des enfants.

Des personnes bien intentionnées souhaitant joindre "Feed the children", une oeuvre de charité, ont eu la surprise de tomber sur une ligne érotique avec au bout du fil une hôtesse à la voix sirupeuse leur demandant leur numéro de carte bancaire. En cause: une erreur dans le numéro de téléphone imprimé sur des boîtes de céréales à l'effigie du joueur de football américain Chad Ochocinco, des Bengals de Cincinnati.

Du coup, la société américaine a dû rappeler toutes les boîtes de céréales. La société PLB Sports Incorporated s'est aussi excusée jeudi pour son erreur et a indiqué que les nouvelles boîtes de céréales arboreront le bon numéro.

Jade


Petit message de Jade

posté le

Message :

Demain je serais au bloc operatoire et absente quelques jours mais rassurez vous je ne vous oublierais pas et vous reviendrais en pleine forme bisous humide a tous

Jade


La langue!

posté le

La langue du tel rose

La langue, c'est un muscle qui sert à pas mal de choses.
Pour le goût des aliments, pour embrasser et aussi :
Pour lécher ?



Des Glaces


A quoi vous aviez pensé ?

( sourire )

La premiere fois (Jade)

posté le

Une jeune femme se laissa tomber sur le moelleux du lit, la tête en arrière, repensant à toutes les mises en garde que jadis sa mère lui avait inculquées. Elle se mit à serrer fortement le médaillon qui s’était réfugié dans l’encolure de son chemisier. Une certaine nervosité gagnait chaque parcelle de son frêle corps. Ses yeux bleus acier regardaient en direction de la porte. Devait-elle laisser son instinct prendre le dessus ? Elle détourna vivement la tête en baissant les paupières. Les draps de coton blanc du lit se froissaient, torturés au contact de ses mains crispées. N’y penses pas une seconde ! Un long souffle souleva la poitrine de la jeune femme. Elle se mit à respirer profondément, son cœur se mit à battre plus vite qu’à l’accoutumée. Corps ? Cœur ? Morale ? Que choisir lorsque l’on a à peine vingt ans ? On voudrait couper le cordon mais cela semblait plus difficile qu’en apparence.

Un bruit plutôt banal la sortit soudain de sa lointaine réflexion. Elle tressaillit, puis regarda de nouveau la porte. Un bruit d’écoulement saccadé mais fluide se faisait entendre.

De l’eau. Il s’y trouvait donc.

Névine se redressa machinalement. Assise sur le rebord du lit elle fixa la porte comme pour essayer, par la simple pensée, de traverser les murs et longer le couloir de l’appartement. Ses idées étaient comme floues, son souffle rapide, cependant une certaine lueur dans son regard trahissait ses intentions. Un rictus se formait sur le coin de sa bouche. Un sourire presque narquois, un sourire provocant mais surtout, décidé. Tel un souffle d’air elle se déplaça jusqu’à la porte puis s’engagea dans le couloir frais.

Comme hypnotisée par la cascade qu’elle écouta attentivement Névine s’approcha de la salle de bains sur la pointe des pieds. Il y était. Elle resta quelques minutes avant d’entreprendre quoi que ce soit. Elle imaginait les gouttes d’eau mourir sur le carrelage en fermant les yeux, ses poings contre sa poitrine, comme pour expier une faute qu’elle allait commettre. Puis enfin, dos au mur, elle pressa doucement de sa main gauche la poignée de la porte. Celle-ci ne résista pas à tant de délicatesse. Il n’avait pas fermé le verrou, était-ce intentionnel ? Névine poussa légèrement la porte, assez pour pouvoir admirer. La forte lumière de la salle de bains contrastait brusquement avec l’obscurité des autres pièces ; elle en fut éblouie. Elle se pencha légèrement de façon à ce que ses yeux puissent explorer chaque coin. Elle entrouvrît la porte encore un peu, et son regard se figea là où depuis le début elle l’avait désiré : la douche.

Et il y était.

Bien que sensée protéger des regards indiscrets la cabine n’en était pas moins translucide. A travers les minces filets d’eau qui claquaient au contact du sol, et rendaient plus opaque cette cabine, elle put deviner distinctement une silhouette, grande et robuste, peu mouvante où seuls les bras semblaient chercher un objet invisible dans l’espace réduit. Il était bien là, c’était bien lui. Névine admira assez longuement cet homme, à travers la cabine, sans oser pénétrer dans la pièce. Elle soupira profondément, d’envie peut-être. Son regard s’arrêtait particulièrement sur ces endroits de son corps qui ne demandaient qu’à n’être ne serait-ce qu’effleurés. Un curieux frisson parcourut le long de son échine ; elle se mit à trembler. Son bras gauche étendu le long du battant, elle s’enhardit à rentrer. Aussi discrète qu’un papillon elle tenait à ne pas trahir sa présence incongrue. De nouveau elle resta immobile contre le mur, dans l’angle opposé à l’emplacement de la douche, comme tétanisée par on ne savait quoi. Le papillon se serait-il emmêlé dans la toile si attirante mais sordide de l’araignée ? Il semblerait n’avoir rien décelé de sa présence…Les bras croisés derrière son dos, elle hocha légèrement la tête, l’air interrogateur. Ses bras semblaient si puissants, ses jambes fermes, et son visage…Il était resté de dos, mais se laissa de temps en temps aller à renverser sa tête en arrière. C’était dans ces moments qu’elle put juger de sa nuque, de son front, moins cependant que cette eau décidément bien plus hardie qu’elle, qui osait s’infiltrer dans les moindres plis de son corps, s’y réfugiait, qui le caressait…Les sens se mettaient en éveil…

Soudain il tourna la tête, mais revenait presque aussitôt à ses ablutions, sans prêter la moindre attention à son environnement. Il semblait si froid, si distant, si indifférent…L’avait-il seulement aperçue ? Comme si elle en avait assez d’attendre dieu ne sait quel signe du ciel, Névine s’approcha et se mit à encercler, à elle seule, la cabine. Un mouvement lent et pourtant aussi furtif qu’une ombre qui passerait. Plusieurs fois l’homme se rendit compte de l’existence d’une forme blanche qui passait, près de sa douche. Il se surprit même à lever à de nombreuses reprises la tête, ses yeux recherchaient à mieux distinguer cette forme fantasmagorique, mais il feignait de ne pas s’y intéresser… Névine semblait dubitative… Il vit la forme se rapprocher de plus en plus, en distingue la silhouette filiforme, le mouvement lent de ses mains qui frôlaient maintenant la paroi de la cabine.

Elle se cambra, puis posa son front sur son avant-bras appuyé contre la vitre, tel un enfant comptant les vingt secondes qui le séparent de ses camarades de cache-cache. Elle baissa les yeux, le souffle lourd ; Il s’approcha, assez pour ne ressentir que la mince paroi la séparer de lui. Elle leva la tête, gênée tout d’abord. Cette intrusion lui semblait si anormale…Il la regarda mais rien ne laissait deviner la moindre de ses pensées. Si le regard est le reflet de l’âme celui-ci ne présentait aucune lueur, aucun jugement, rien…Il se mit à sourire ironiquement, effleura de son doigt le long de la vitre à l’endroit où se trouvait, de l’autre côté, le visage de la jeune femme. Il esquissa les contours de ce si doux visage, en contemplait chaque recoin avant se s’arrêter sur ses yeux d’un bleu si profond qu’il s’y noya. Elle sourit à son tour, candide et innocente… Il lui tourna alors le dos pour revenir sous le jet de la douche.

C’est à ce moment-là qu’elle se décida à agir.

De ses mains tremblantes elle ouvrit maladroitement la porte coulissante de la douche puis s’y engouffra, avant de la refermer derrière elle. L’homme la fixa du coin de l’œil, tout en continuant sa toilette. Les minces jets d’eau atteignirent la jeune femme, pourtant adossée au plus profond de la cabine. Son chemisier blanc au contact de cette eau tiède révélait peu à peu le corps de cette fragile fille, et laissait entrevoir la pointe satinée de ses seins. Elle s’avança près de lui, son regard de porcelaine le dévisageait, ses cheveux auburn ondulant légèrement dans cette humidité calorifique. Le tissu collait à sa peau, aussi elle releva légèrement sa jupe à hauteur du haut des cuisses, le long desquelles l’eau coulait. Il se rapprocha et joignit ses mains aux siennes ; et ensemble ils firent glisser ce morceau de tissu. Puis elle ramena les mains masculines sur son corsage. Leurs corps maintenant se touchaient, laissant parfois échapper quelques soupirs étouffés par le bruissement du liquide. Il caressait longuement la poitrine, comme un conquérant savourerait sa victoire en terrain conquis. Et, comme pour planter le drapeau de l’appartenance il glissa sa main sous le chemisier devenu transparent, et en défît un par un les boutons de nacre. Elle ferma les yeux, se laissant aller aux affres du plaisir, cette impression de vertige, de tomber en arrière alors qu’il la retenait par la taille d’une main, l’autre enlevant délicatement cette chemise, indésirable dans cette union déjà bien entreprise. Automatiquement Névine cacha son intimité dévoilée de ses mains ; elle semblait être la réincarnation de la Vénus sortant de l’onde, les anges en moins, car cette Vénus-là était, aux yeux de cet homme, avant tout un ange. Elle entrecroisa ses pieds, honteuse comme pouvait l’être un petit enfant qui s’apprêtait à se faire gronder, la vapeur embuait ses yeux, ses mèches humides collaient à son front et retombaient, luisantes, le long de ses joues. Il baissa sa tête afin de déposer ses lèvres sur son cou, une partie qu’il a toujours adorée déranger chez une femme. Cette sensation de chatouillement lui était agréable. Plus il allait haut, plus ça la forçait à relever la tête, tandis qu’il lui écartait les mains, résistantes à cette diversion.

Peu de secondes s’écoula entre la réussite de son dessein et le fait qu’elle se colla brutalement à lui, ne lui laissant le temps de rien contempler, les bras entourant le dos musclé. Elle n’avait pas rouvert les yeux. Elle cherchait timidement un endroit où poser ses lèvres, mais elle explorait inconsciemment tout ce qu’elle trouvait à sa portée. Leur visage se toucha, leur bouche se rencontra tandis que leurs caresses avaient déjà réussi à leur procurer le bien tant souhaité. C’était si chaud, une sensation agréable même si…sensuelle. Leurs lèvres s’imprégnaient du goût de l’autre, c’était magique en ce lieu pourtant si prosaïque. Tant de force et de douceur à la fois, chacun cherchant à s’équilibrer par rapport à l’autre. Combien de minutes s’était-il écoulé depuis ? Ils ne le savaient pas, la notion du temps s’était effacée depuis cette première étreinte. Maintenant ils avaient l’air de ne former plus qu’un seul être, un être d’amour. La buée avait complètement rendu l’étroitesse de l’endroit inaccessible aux regards, seuls étaient distinctes leurs ombres entrelacées. Elle se laissa aller à pousser quelques gémissements bien que l’éclat du désir, du plaisir l’effrayèrent un peu. Seul témoin de cette scène, le pendentif, un camé bleu représentant une jeune fille cheveux au vent, les mains jointes, dans un univers d’orage. Une jeune fille qui paraissait porter un jugement sur ces minutes interminables entre ces deux corps…

C'était sa première fois.

Elle secoua la tête bravement, signe qu’elle n’avait pas peur. Il était plus âgé qu’elle de près d’une dizaine d’années, il avait de l’expérience. Elle frissonna. Son corps se tendait mais il était doux comme il lui avait promis. Il la regarda profondément dans les yeux et lui murmura de lui faire confiance. Son sourire finit par la rassurer. Il prenait son temps lentement, voulant lui causer le moins de mal possible. Enfin la délivrance sortit d’elle. Névine resta haletante, agenouillée sur le carrelage, heureuse d’en avoir fini avec ce qui la reliait encore à son enfance, à sa cellule familiale. Tout en l’entourant de ses bras fermes mais tendres il lui sourît chaleureusement.

Elle était allongée à présent sur le lit, un léger drap la recouvrant telle une aile. Cet homme venait ce soir, cette nuit, de faire d’elle une femme. Elle se tourna sur le côté. A quel moment cela était-il devenu ambigu ? Aurait-elle brandi à un moment l’étendard de la séduction ? Elle n’avait pourtant jamais vraiment accepté ou même revendiqué sa féminité. Elle se souvint de l’adolescence où elle serrait fortement sa poitrine sous des bandages. Elle se souvint avoir pleuré de honte à ses premières règles. Jamais de jupe ni de cheveux longs, rien que des vêtements amples, rien qui pouvait attirer le regard d’un homme. Surtout de cet homme, lui que parfois elle observait du dessous de sa casquette gavroche. Un vrai garçon manqué mêlé de rébellion... Une douleur aiguë survint au niveau de son bas-ventre. Elle pressa légèrement, laissant échapper un vif gémissement. Elle se retourna afin de s’assurer du sommeil de son compagnon. Voyant que Morphée l’avait bien pris en charge Névine se leva, et arpenta les pièces de prédilection. La douche où elle essuya quelques gouttes de sang le long de ses cuisses. Il s’était occupé auparavant à passer une serviette humide au creux de ses reins, toujours dans cette cabine imprégnée de vapeur, mais aussi de leurs ébats. Et le salon. Elle avait éternellement adoré regarder la vue depuis la grande fenêtre. La ville en contrebas, des lumières parsemées au loin sur la colline, et en face, fière et glorieuse, la Citadelle qui protégeait en hauteur, la nuit, le repos des habitants de cette ville. La vitre conservait encore la trace des paumes de ses mains, moites de sueur, témoin de ses précédentes veillées devant ce spectacle majestueux.

Ce n’était pas la première fois qu’elle passait la nuit ici ; mais la première en temps que Femme. Et par cet argument elle se permit de mirer différemment le jeu des ombres ténébreuses dans les feuillages. Elle enleva délicatement le crochet qui bloquait la fenêtre, puis sentit passer sur ses joues rouges le vent agréablement frais ; ce vent qui tournoyait curieusement autour de ses cheveux, comme pour lui adresser au creux de son oreille un message sibyllin. Les mille et une étoiles scintillantes à l’unisson symbolisaient à ses yeux les êtres aimés disparus ; chacune d’entre elles était l’âme d’une personne chère partie, et qui surplombait le monde d’un berceau de tendresse et d’amour. C’était la bisaïeule qui ce soir protégerait sa petite. Elle n’oublierait pas non plus son tendre grand-père qui sans doute aurait été fière de la voir grandir, la voir participer aux associations caritatives, la voir obtenir son bac. Il y avait bien sûr tous ces mauvais points accumulés depuis son entrée au lycée, mais elle préféra les occulter. Donc ce soir, que penseraient ses ancêtres que si souvent elle évoquait, de son passage dans le monde des adultes ? Peut-être que cette brise lui apporterait la réponse…Mais avait-elle vraiment envie de le savoir ? Sombre nuit, que tes traces d’encre emportent avec elles tous les malheurs du monde…Aussi rapide et fatal que l’abattement de la foudre elle se sentit s’évanouir. Recroquevillée, accrochée à la balustrade, une sensation de malaise l’envahit. Ce mal qui lui faisait pourtant du bien ; Ce fut si doux la brûlure là où, de sa main virile, il la toucha…


des loches à loisir

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Je teste et j'aime!

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J'ai acheté par correspondance un nouveau jouet pas bien cher et très fun à utiliser : un duo d'aspire-tétons : sorte de petit cônes ouverts à leur base et surmontés d'une boule creuse. Ca ressemble un peu à de gros pions de jeu de société... mais ça permet de tout autres jeux .

On applique l'ouverture sur l'aréole du sein, on presse le bout, ce qui crée un vide d'air et tire le téton à l'intérieur, le faisant gonfler de manière parfois surprenante et rend nos jolis bourgeons tout sensibles même au plus petit déplacement d'air.

Ma copine et moi venions de faire l'amour, de manière lente et sensuelle. Ces ébats l'ont complètement repue mais moi, grande gourmande que je suis, j'en voulais encore. J'ai donc ouvert le tiroir de la table de nuit, et entre les deux godes, les préservatifs, les lubrifiants et monsieur couin-couin-le-coquin" j'ai trouvé ce que je cherchais; les aspire-tétons. Je les applique sur les mamelons de ma copine une pression et un petit cri, mi surpris mi excité de sa part m'apprennent qu'ils sont bien en place (c'est la première fois que je m'en sers en sa présence).
Je caresse le pourtour de ses beaux beaux seins, tout en l'embrassant. Ma main glisse doucement jusqu'à son mont de vénus où elle s'attarde, titille ses lèvres intimes encore toutes sensibles après le bon orgasme qu'on vient de s'offrir il y a quelques minutes. Je la caresse partout pendant un petit quart d'heure, le temps que ces petits suceurs fassent bien leur effet.

Le moment venu, je tapote délicatement ces petits aspirateurs qui me cachent la vue de ses beaux tétons.
-On vérifie ce que ça donne ?
-Si tu veux, moi je suis repue, je veux juste te voir prendre ton pied encore une fois aujourd'hui.
Je l'embrasse longuement et tout en douceur, j'enlève les deux jouets. Un dans chaque main, je démoule. Quelle merveille, ses tétons ont au moins triplé de volume ! Je les parcours du bout de la langue, et leur offre chacun leur tour une petite fellation bien méritée. Les gémissements de ma copine me font comprendre que l'expérience est très agréable pour elle aussi.
Tout en la suçant, je me masturbe, me lubrifie la vulve.
Ensuite, affichant mon sourire le plus coquin, je me place jambes écartées, avec la chatte sur son sein droit. Son téton tout gonflé trouve tout seul son chemin et me caresse juste entre les lèvres, là où je le voulais.
-Vas-y ma belle fais-toi plaisir et remplis mon néné de cyprine !
Ma chevauchée sensuelle commence, je me fais glisser contre son téton dressé, que je sens très bien me caresser. Oh que oui la situation est excitante et ma mouille coule tartine généreusement le sein de ma copine.
Elle me sourit et me pétrit les fesses pour m'exciter encore plus.
-Passe sur l'autre à présent !
Je m'exécute et je reprends les oscillations de mon bassin sur son sein gauche. Je suis tellement excitée par la situation que je perds le contrôle bien vite, je rapproche les caresses, me concentrant sur le frottement contre mon clitoris. Quelques va et vient supplémentaires suffisent à enclenché mon petit détonateur de plaisir et l'orgasme monte en moi, cette sensation de bien-être total. J'enduis littéralement le torse de ma copine de ma liqueur de plaisir et je n'en suis pas avare.
Mais déjà le plaisir s'efface et laisse la place au constat de l'étendue des dégâts : deux seins tout poissés, que pour son plus grand plaisir elle s'empresse de lécher avec gourmandise.

Un petit joujou pas cher du tout, qui vous tire les bouts et vous donne de l'excitation tout partout, c'est le plaisir à tous les coups .

Camille


poupée, the doll !!!!

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c'est fou non?


crush blog

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A toi adepte du crushing,

J'ai trouvé ce blog , ok il est en anglais, mais peut être que tu pourras prendre du plaisir à le regarder :)

ici CLIC

Camille


En voila une belle Princesse

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piscine

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Le soir, les jours de beaux temps, j'aime me rendre à la piscine municipale toute proche. Le gros de la meute est parti, l'eau est bonne, la température est agréable. Le rêve!!!!

Mauvaise surprise, le grand bain est fermé. J'hésite à rentrer, je viens surtout nager. Mais la caissière me reconnait et me laisse rentrer sans payer. Je la remercie, je gagne ma place habituelle, vers l'entrée des bassins.
Tacitement, l'ouest et le plongeoir sont le domaine des jeunes, l'est, proche des bassins d'enfants sont le domaine des familles.
Au milieu, le bassin de 50m, fermé.

Je déploye ma serviette, fais glisser jupe et tee shirt. Où me mouiller? Bassin d'enfants ou bassin profond?

Allons toujours jeter un oeil au grand bassin!

1,80m de profondeur, dans sa partie minimum, 3 m à l'autre extremité. Je soupire, je n'aime pas ne pas avoir pied ni sentir s'envoler par dessus ma tête des gamins qui plongent.

Par contre pas trop de monde à cette heure, et l'eau est bonne!



Descendre l'echelle, faire quelques brasses pépéres, en longeant le bord... Mon intention était de longer la margelle droite, zone tranquille, mais un homme s'étale tel un poulpe barrant l'accès. Deux options: Passer près de lui, avec la certitude de me faire peloter, ou le contourner largement et risquer le bouillon...
Agacée, je vas et viens dans le triangle laissé libre. Il ne manifeste aucun désir de bouger, me dévisage, mate mon décolleté... Je lui souris dans l'espoir qu'il s'écartera, mais non! Peut-être ne sait-il pas nager, après tout! Je vais sortir du bassin, quand, enfin! Il bouge. D'un élégant crawl bien rythmé il traverse le bassin. J'admire! Mais le sens des réalités me revient et je profite de l'accès enfin liberé pour gagner la zone convoitée.

Je nage, tranquille. Je gagne l'autre paroi sans étape, j'en suis toute fière!

Un remous! Mon séducteur vient de me couper la route, s'accrochant au rebord. On se souris, reprenants souffle. J'ai le filtre contre moi, je savoure, c'est bon, ce massage, je frissonne d'aise, les yeux clos.

Une éclaboussure, mon compagnon vient de repartir vers le centre du bassin. Il nage vraiment bien, il parade, tel un ado, et telle une ado, j'admire!

Neptune se laisse flotter au centre du bassin, s'immobilise, me temps les bras.

-Viens!

J'écarquille de grands yeux. Je suis consciente de mes limites natatoires et pas envie de boire la tasse par l'espièglerie d'un plaisantin. Pourtant, super envie d'y aller...

Bon, j'y vais, j'y vais pas?! Mes yeux vont du nageur au rebord... J'y vais ou j'y vais pas?

Tentée, et prudente...
S'il allait s'esquiver?! Pas sur d'être en mesure d'avoir l'autonomie de regagner la rive sans dégâts!

De nouveau, il me fait signe!

-Allez viens, quoi! Tu as peur?

Aie! Coincée! Il a trouvé le seul argument capable de me décider!



Avec un soupir, je m'élance vers lui. Je nage en m'appliquant, m'efforçant de ne pas penser au mètre d'eau sous mes pieds. Ne penser qu'au but à atteindre, respirer...

Je le rejoins, je m'accroche légèrement à ses bras. Nos jambes se frôlent, et comme j'aime ce contact, je l'accentue malicieusement. Et comme il ne proteste pas, je feind d'avoir du mal a flotter, je pose mes mains sur ses épaules (délicieux contact) et mes cuisses viennent enserrer ses hanches.

Je ris de mon audace.

Nous restons là à flotter un moment, nos regards rivés. Puis je devine qu'il se fatigue.

-On y va?

-On y va!

Je nage vers le bord, heureusement pas trop loin. Je devine qu 'il me suit, attentif. Dès que je suis raccrochée au rebord, il repart vers le centre du bassin, il fait le pitre un moment, un vrai gamin!

Il finit par me rejoindre esoufflé.

-Je vais sortir!

-OK!

Je devine son regard sur mes fesses, mes jambes, tandis que je gravis l'échelle. Je fais quelque pas, mais quand je me retourne, il a déjà disparu! J'en reste toute désappointée!

-Et puis zut!

Je regagne ma serviette, un peu irritée. Je m'allonge, laisse le soleil déclinant me sécher.

Un ombre sur moi. J'ouvre un oeil. C'est le dieu Neptune, encore ruisselant, sa serviette et son sac de sport.

-Je peux?

-Bien sûr! Ce n'est pas la place qui manque!

Le coin est désert.


Mon coeur bat à tout rompre. que dire, que faire? Lâchement je prends le parti de feindre de somnoler!


Un mouvement, il s'est emparé de mon bouquin, le feuillette. Je laisse faire.

Sa main effleure mon épaule, il se redresse.

-Ca va fermer!

-Déjà???
(Pas vu le temps passer, moi, pffff!)


Il s'entortille dans sa serviette pour retirer son maillot et enfiler son short. Je louche sur lui, mine de rien.

Plus pragmatique que lui, je me tourne vers la rivière, retire le maillot, passe le tee-shirt. Je devine qu'il n'en perd pas une miette.

Pour le bas, restons décente! Passons la jupe, et faisons glisser le maillot. seul un éclair de hanche parait.

(Ben oui, je rentre sans sous-vêts de la piscine!)


-Tu es venue comment?

-En auto.

Le voilà tout décu! Serait-ce de ne pouvoir me raccompagner?

-Je peux te laisser mon numéro?

J'acquièsce. Mais j'ai rien, pour noter, moi!

Il farfouille dans son sac, pêche un bic, griffonne un no sur une marge de mon livre.

Voilà!

On regagne nos autos. On s'embrasse sagement, en copains. Il me tient ma portière, se penche.

-Tu m'appelleras?

Je fais ma Joconde, mais j'ai le coeur qui bat à se rompre.

-Peut-être...


Nouveau: Tu veux une coquine en cam? c'est nouveau c'est pour toi , c'est ici  :)