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Le blog des animatrices de téléphone rose, les dernières news.

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Dialogue coquin et amour au téléphone avec de vraies femmes qui aiment le sexe, elles sont toutes sur le 08 92 222 402

Téléphone rose Témoignage de femme

posté le

moi je n'ai jamais voulu rencontrer mes partenaires de téléphone. Mon plaisir résidait dans les dialogues écrits qui faisaient monter le plaisir dans mon ventre. Ce qui m'agaçait dans ce jeu, c'est que les hommes demandaient toujours de decrire mon physique. Je trouvais que ça ne servait à rien, je me fichais de savoir à quoi ils ressemblait. Ce qui comptait, c'était leur voix et ce qu'ils me disaient. Certains s'en sortaient tellement bien que je faisais toujours ça avec eux.

Mes plus belles masturbations ont eu lieu au téléphone. J'allais sur des sites de dialogue au minitel, et je discutais avec un mec. Nos dialogues étaient très porno, ça nous excitait beaucoup. J'avais les seins à l'air, les jambes écartées et je me retenais de jouir. Quand on arrivait lui et moi à un degré d'excitation insupportable, il me refilait son numero de tél et je l'appelais. Il décrochait tout de suite, il haletait et me disait des mots dégueulasses, j'adorais ça, ça me faisait jouir comme une dingue!
Un jour, il ne pouvait pas sortir son sexe de son slip car il était au bureau. Il a éjaculé dans son slip.
je me suis masturbée au tél avec une quarantaine de types. Je faisais ça tous les jours, plusieurs fois par jour. J'étais vraiment accro! Je ne pouvais plus m'en passer.


Aventure avec Enzo mon italien

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Les hommes de ma vie se présentaient ,me téléphonaient, me solicitaient.

En compagnie d une amie nous étions parties en suisse Romande, un bus remplis de personnes célibataires. Femmes et hommes réunis. On a bien rit, on a fait des rencontres. Les hommes charmants et amoureux dès le premier soir.

A l' hôtel il  y avait nos deux voisins de voyage sur le même étage. Les chambres étaient l'une en face de l'autre.

De nature gaie et joyeuse, un peu ronde les cheveux mi longs et la tchatche .. m'ont permis de discuter et de sympatiser très vite avec eux. Enzo l' Italien vivait en suisse, seul. Des mains baladeuses. En parlant il n' avait pas peur de poser ses paumes sur ma poitrine. De me prendre la taille et de m'attirer à lui. Ses bisous devenaient précis, très vite j'avais envie de lui, sa voix rauque et sa  désinvolture m'enchantaient. Je sucombais au charme de beau brun.

Un super amant qui va droit au but. Je suis  cérébrale, et j'aime faire l'amour, découvrir et vivre cette sensation douce qui vous emmène dans un monde de plénitude.

Il m' avait invité dans sa chambre pour boire un verre, je savais ce qui allait arriver. J' aimais... j'étais excitée. Un verre de vin italien dans la main il me prit la mienne et la posa sur sa braguette. Ses yeux ne quittaient pas les miens. L'espace d'une seconde son souffle était coupé, ses pupilles s'ouvraient.

Une bosse bien dure  déformait le tissu. Il se laissait caresser,  je profitais pour suivre la forme énorme. Mes doigts se fermaient sur l'étoffe tirée. Ma main descendait sur les couilles rondes, remontait vers la protubérance de sa verge en érection.

Il posa son verre sur la commode,  tira le zip de sa braguette, sa main s'engouffra dans la fente devenue étroite. Il en retira une bite brune et veineuse, son gland perlait de foutre blanche. Enzo grognait, soufflait. Son bassin avait des mouvements de pénétration. Sa main serrait fortement la verge devenue violacé, raide et horizontale

J' étais excitée de voir ce geste, ma chatte mouillait, je relevais ma robe légère et enlevais le petit slip qui collait sur mes lèvres. " Prends moi de suite" lui dis je.

Il me tournait vers le fauteuil, penchée en avant, le cul en l'air, les reins creusés. Enzo enfoncait le sexe d'un coup dans la fente ouverte, trempée. Mon amant tenait mes hanches, me labourait vigoureusement. Le glissement de sa pine m'offrait un plaisir voluptueux, je jouissais. Le plaisir se renouvellait, Enzo était fou, sans raison, comme une bête, déconnecté il n'avait qu'une envie, éjaculer, gicler.

Sa  jouissance était longue, grognant, murmurant, il se vidait en moi. Il resta longtemps collé contre mes fesses, sans débander, sa bite sursautait dans ma chatte serrée, à chaque fois il poussait de petits cris de plaisir.

Enzo se relâchait, un soubresaut marquait la fin du coït. Il s'affalait sur le sol, la verge mouillée, posée sur le coté, le gland rouge. Son pantalon était taché, imprégné de sperme.

Fabuleux cet homme.


Arrête je suis prêt à gicler!

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Paul est venu. En avance... l'a t il fait exprès?

Je n' étais pas prête. Mes cheveux mi longs étaient encore mouillés et mon peignoir collait sur ma peau . Il m' a bousculé dans le couloir et m' a donné un baiser fougueux en cherchant ma langue ses mains sur mes seins bien ronds. Je me sentais petite devant lui, grand et fort.

Il faisait chaud et lourd, je lui déboutonnais sa chemise pour mettre mes paumes sur sa poitrine, sur sa peau douce. Ses mains caressaient mon corps. J'ouvrais la ceinture de son pantalon. Une main  sur sa hanche je descendais vers le plis de ses cuisses. Il tressautait, frissonnait. Doucement  ma main  pris son sexe bien gros et érigé .

Je carressais le pénis de haut en bas avec ma main fermée sur la hampe. Ses yeux dans les miens trahissaient le plaisir, son regard était doux.

Je me suis accroupie devant lui et j' ai descendu son boxer. Son sexe était a la hauteur de ma bouche et de mes yeux. Fier, épais, gonflé  de désir. J'ouvrais ma bouche, ma langue le lechait, j'avallais le gland violacé, je suçais la bite goulument. Un gout chaud et fruité. J' aime cette odeur de mâle puissant....

Il halletait ,il tenait mes cheveux, il tenait ma tête. Mes mains se promenaient sur ses fesses,  je passais mes doigts dans la raie étroite de son petit cul. Son sexe était beau, courbé,  de plus en plus arrogant...

" arrête toi, je vais gicler "

Il passait ses bras sous les miens et me relevait. Sa bouche me suçait les seins, me mordait les mamelons avec douceur, léchait les pointes, ses mains étaient partout a la fois...

Il me poussa sur le lit écarta mes cuisses, sa langue mordait mon sexe mouillé, sucait les lèvres ouvertes, avalait la cyprine de femme aimante.

Mes gémissements étaient étouffés par sa bouche. Sa queue tendue battait mon entre cuisse, je ressentais le gland devant ma chatte ouverte. Je relevais mes hanches pour accueillir le pénis raide. La rondeur de son gland écartait mes petites lèvres. D'un coup sec son membre me remplissait brutalement pour se retirer totalement.

Comme un fou Paul jouait, m'attirait à lui, me délaissait, pour me reprendre encore et encore. Comme un dément il me fourrait la chatte sans arrêt Mes orgasmes me faisait perdre la raison.

Il  arrêtait de bouger, il était au bord de la jouissance. Je profitais de ce moment et me mis à genoux en levrette. Paul  aimait. Je jubilais. Sa verge me remplissait plus profondément, la vision de mes fesses offertes l'excitait.

Les mouvements de son bassin contre mon cul étaient plus courts, plus secs. La jouissance étaient au pic de non retour, ses cris de plaisir remplissaient la pièce.

Lentement nos corps se séparaient, doucement nos esprits reprenaient. Tout simplement heureux.

Les bougies brulaient, la table était mise.


Les mains

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Comme promis, des nouvelles..c' est bon, trop bon. Je puise dans les images d' hommes nus sur mon ordi. Toutes les formes de verges veineuses à craquer, et puis les mains, cela me fascine. Les mains qui tiennent le pénis... qui caressent la hampe raide, qui  pointent le gland vers une fente déja ouverte. La puissance du geste.

Le cérébral a pris le dessus et le jeu peu commencer.

Je me trouve dans le couloir  pour ouvrir à un ami qui a sonné, je lui souhaite la bienvenue langoureusement. Je suis déjà dans mon délire, il ressent cette émotion. Plus fougacement je lui donne un baiser, il  réagit très vite, il me connait. Il me plaque contre le mur , ses grandes mains  touchent le bas de mon dos, malaxent mes fesses. Sa poitrine écrase mes seins ronds et durs, le bout de mes tétons me fait mal . J'ouvre la braguette de son pantalon, ma main dégage une bite enflée et raide, je caresse le pieu en fermant mes deux mains sur la hampe.

Des doigts touchent mon petit triangle de poils bruns. Je creuse mes reins, avançe mon bassin, écarte les jambes pour qu'il me pénètre avec ses doigts.

Il me tourne face au mur. Je pose mes mains sur la surface. Je délire de plaisir. Cambrée, je m'offre à ces caresses, il me pétrit  les seins, les soulève, les écarte. Son corps dur est lové contre mon dos, son sexe entre mes fesses chaudes, il respire  fortement. Je soupire de désir et de volupté. Ma chatte mouille, mon ventre tire.

Il relève ma petite robe boutonnée qui s' ouvre encore plus, je me trouve en soutien gorge et petits chaussons noirs. Une main écarte mes globes, un doigt s'enfonçe dans l'anus. Une douce chaleur chaude me submerge. J'ai envie de lui.

Sans un mot, mon ami glisse vers ma chatte, ses doigts me fouillent profondément. Je suis ouverte, offerte, je le veux, j'ai envie de lui , je le supplie de me prendre, de me  mettre sa bite dans mon fourreau avide d'orgasmes. Sa verge frotte ma fente mais ne me pénétre pas. Elle glisse dans la mouille, entre mes lèvres  butte contre mon clitoris.

Il me met à genoux. Les fesses en l'air, j'écarte mes cuisses, je creuse la taille.

D' un seul coup de rein il me pénetre. C'est bon, comblée j'ondule de plaisir. Sa queue s'enfonçe. Sa verge me fouille, cogne et s' échappe mais rejoint la profondeur de ma fente béante. J'aime cette brutalité, je jouis.

Le plaisir est la, quelque chose de bon, de sublime.

Un cri rauque, ma chatte palpite, mon amant est affalé sur moi, son pénis enserré dans moi.  


Je me livre

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Et ben oui...... L'amour au tel c'est bon!

Ca va pas trop mal. Bonne soirée. Bien mangé, bien discuté et maintenant que vais je faire ?

Tout simplement vous dire, tout vous dire... cette après midi j' ai fais une superbe connaissance virtuelle. Une personne jeune, formidable. On a tchaté de longues heures. J' ai bien aimé.

J' étais éxcitée de pouvoir lui raconter mon hier soir AU TELEPHONE ROSE. Le désir est vite montée, le désir de la chair de la caresse, l' envie de donner et d' avoir du plaisir. 

Je me suis allongée sur le lit et je me suis caressée. Mes fidèles serviteurs étaient là. J 'ai cherché ce petit quelque chose qui vous dit de ne pas vous arrêter et que cela va venir. Que cela va être bon. La jouissance est venu très vite en écoutant râler de plaisir mon "ami" au téléphone à l'autre bout de la terre. Nous étions calqué, les mêmes petits cris, les souffles coupés, le silence et la délivrance finale.

La palpitation profonde avec le mouvement accéléré, un total don de soi. Plus rien ne compte que ce désir de plaisir....Amoureuse de sa voix rauque, amoureuse d'un inconnu...... 

Le plaisir que me procure mon téléphone est inavouable, pourtant... c'est si bon!


le septième étage

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Il marchait vite, il avait rendez-vous avec sa belle Émilie mais son train avait pris du retard, un arbre s’était couché en travers de la voie. Il faut dire qu’il faisait un temps exécrable aujourd’hui. Pour la première fois depuis qu’ils se voyaient le soleil ne brillait pas. Était-ce un signe ? Non il ne voulait pas y penser, une seule chose comptait, rejoindre sa bien-aimée le plus rapidement possible.

 

Depuis ce matin tout allait de travers, tout était bizarre… Ça avait commencé par sa voiture qui n’avait pas démarré, il avait de justesse pu attraper un train. Durant le voyage, par la fenêtre il avait assisté à toute une série d’événements assez incroyables, une grange qui brûlait, un torrent qui débordait, des chevaux au galop qui s’étaient échappés de leur enclos et un ramoneur qui était pourchassé par une boulangère en petite tenue…

 

Il arrivait enfin dans ce petit hôtel où ils s’étaient déjà retrouvés à plusieurs reprises, il espérait qu’elle soit toujours là car il avait tout de même plus d’une heure de retard… Et ces bizarreries qui continuaient… Une baie vitrée de l’hôtel était cassée et un drôle de type avec un chapeau pointu s’affairait à réparer l’ascenseur. C’était vraiment une journée particulière.

 

Elle était là son Émilie, assise au bar, plus jolie que jamais, des bottines à talons, des bas noirs, une petite jupe en daim marron et une tunique beige avec de longues manches recouvertes de franges, elle avait les cheveux attachés ce qui laissait apparaître sa nuque fine, cette si jolie nuque qu’il aimait tellement embrasser…

 

Il s’approcha d’elle furtivement, elle ne l’avait pas vu, passant ses bras autour de son ventre, il l’embrassa délicatement dans le cou et lui chuchota à l’oreille :

 

  • — Bonjour, Belle Indienne…

 

Son corps tout entier frémit de soulagement, elle avait eu si peur qu’il ne vienne pas… Il s’assit sur le tabouret d’à-côté, lui pris les mains et la regarda. Elle lui sourit, elle ne pleurait pas, ses yeux brillaient de bonheur et étaient remplis de larmes. Il s’approcha d’elle et l’embrassa tendrement, il aurait eu envie de le lui prendre la bouche voracement, mais ils étaient en public, il fallait se maîtriser…

 

À ce moment, un garçon avec un plateau rempli de verres, se prit les pieds dans le tapis et s’étala dans un vacarme assourdissant et il se dit, « cette journée est vraiment bizarre », mais qu’allait-il encore se passer ? Un frisson lui traversa le corps, il avait peur… Depuis qu’il connaissait Émilie, tout s’était toujours si bien arrangé, mais depuis ce matin tout allait de travers, le monde entier semblait devenu fou…

 

Les lèvres douces d’Émilie le ramenèrent à la réalité, elle lui dit qu’elle avait déjà la clé de la chambre, elle lui expliqua que celle qu’ils avaient réservée avait eu un problème d’écoulement, « évidemment » pensa-t-il, mais l’hôtel leur avait donné une suite junior en compensation au 7ème étage. Ils burent rapidement leur verre et quittèrent le bar. Dehors le temps était de plus en plus abominable, un vent violent faisait plier les arbres, deux hommes s’engueulaient sous la pluie car ils venaient de se percuter avec leurs voitures. Émilie le regarda, elle n’avait pas l’air de les remarquer, il eut à nouveau peur, il venait de se rendre compte, que ces événements bizarres, il était seul à les voir…

 

Ils se dirigeaient maintenant vers l’ascenseur qui n’avait plus l’air d’être en panne, l’homme au chapeau pointu avait disparu, ils pourraient donc le prendre. Une fois à l’intérieur, ils remarquèrent que quelque chose avait changé, le plafond était noir et des dizaines de petites lampes scintillaient, style ciel étoilé, « encore une bizarrerie » pensa-t-il, mais cette fois son Émilie l’avait remarqué aussi, il fut soulagé… Il voulu appuyer sur le bouton du 7ème étage, oh surprise ! Il n’y en avait pas, cela s’arrêtait au 6ème…

 

Et l’ascenseur démarra tout seul… Ils se regardèrent étonnés, mais peu importe, ils étaient enfin seuls, il lui prit le visage entre ses mains et l’embrassa à pleine bouche. Au contact de ses lèvres humides et douces, il eut soudain envie d’elle, envie comme jamais… Tous les deux adoraient ce petit moment dans l’ascenseur, il signifiait leurs retrouvailles, c’était souvent le premier vrai baiser qu’ils se donnaient depuis leur rencontre précédente…

 

Plus rien n’existait, le baiser les avait complètement emportés, cela faisait de longues minutes qu’ils s’embrassaient quand ils se rendirent compte que l’ascenseur ne s’était toujours pas arrêté. Ils avaient souvent fantasmé sur un ascenseur qui ne s’arrêterait jamais de monter… eh bien ce jour était arrivé et il comprit pourquoi cette journée avait été tellement bizarre, ce n’était pas un jour comme les autres ! Les dieux du sexe et de l’amour leur faisaient un magnifique cadeau, ils étaient en route pour le 7ème étage…

 

Leurs lèvres ne se quittaient plus, ils avaient décidé de ne pas se poser de questions et de profiter de ce moment unique qui leur était offert… Il sentit le corps d’Émilie vibrer, sursauter, il connaissait bien ces soubresauts mais ils lui faisaient toujours autant d’effets, ses mains passèrent sous sa tunique juste dans le bas du dos. Ces caresses, il le savait, Émilie les adoraient, et son corps d’onduler encore et sa bouche de devenir toujours plus vorace…

 

Émilie était en feu, elle brûlait de toute part, c’était une torche vivante qui hurlait de désirs. Il décida de passer à l’action, ses mains quittèrent son dos pour descendre et passer sous sa jupe, une main sur son sexe et l’autre sur sa rose, il se mit à la caresser, ces va-et-vient à deux mains la rendirent folle, elle se mit à crier, à crier toujours plus fort… Le plaisir montait en elle. Qu’elle était belle, resplendissante, la tête penchée en arrière, sa magnifique crinière tombante ! il le sentait, elle allait attendre le point zéro, elle ne respirait plus, ses cris s’étaient transformés en un long râle, et se fut l’explosion, une explosion de plaisirs, de joie, de bonheur, un orgasme fabuleux qui lui inonda les mains…

 

Il lui laissa gentiment reprendre son souffle et lui murmura :

 

  • — Je t’aime mon Émilie, je t’aime tellement…

 

L’ascenseur quant à lui, bien qu’il ait atteint le 7ème ciel avec Émilie, avait décidé de continuer. Alors elle voulut à son tour profiter de ce cadeau, elle se mit à genoux devant lui, lui décrocha sa ceinture et il se retrouva les pantalons sur les chevilles, son sexe dressé, fier et gonflé de désirs. Sans se faire prier, il accepta la bouche gourmande d’Émilie… La chaleur de sa bouche l’envahissait tout entier, il la sentait le sucer, le mordiller, le grignoter, ses mains lui caressaient les bourses, il sentait le plaisir monter en lui, devait-il résister, lutter, mais l’ardeur d’Émilie lui fit comprendre qu’elle voulait l’emmener à son tour au plaisir, et à son tour il hurla de jouissance et Émilie le délivra et recueillit sur sa langue tout le bonheur d’une journée vraiment pas comme les autres…

 

L’ascenseur s’arrêta aussi soudainement qu’il avait démarré, et c’est dans cette position un peu scabreuse qu’ils virent les portes s’ouvrir, et devant eux, magistral, un panneau doré mentionnant en lettres gothiques : Bienvenue au 7ème étage…


Etes-vous une spécialiste du langage hot et sensuel, une véritable déesse de l’amour au téléphone?

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Etes-vous une spécialiste du langage hot et sensuel, une véritable déesse de l’amour au téléphone? Découvrez-le d’après votre signe…

 

Bélier : Vous ne ratez jamais une occasion de jouer les allumeuses, même si cela doit se passer par téléphone avec un langage cru …

Taureau : Prononcer des paroles plantureuses vous démange, mais votre timidité pourra parfois vous en empêcher.

Gémeaux : Vous êtes la championne des mots doux et sucrés, vous adorez les prononcer pour envoûter votre partenaire à distance.

Cancer : Vous avez tendance à penser que ces dialogues virtuels coquins n’ont pas grand intérêt, amies Cancer!

Lion : Le téléphone rose vous plaît beaucoup, mais si et seulement si c’est votre interlocuteur qui prend les choses en main en vous susurrant des mots sensuels...

Vierge : Les conversations téléphoniques ne sont pas vraiment votre truc, vous n’êtes donc pas partisane de l’amour par téléphone.

Balance : Votre sens à vous, c’est la vue! Vous trouvez que l’excitation par l’ouïe est donc définitivement moins agréable.

Scorpion : Vous êtes redoutable et tellement sensuelle dans vos paroles que le destinataire ne peut que s’en délecter…

Sagittaire : Garder votre sérieux serait très difficile si vous décidiez de revêtir le rôle d’hôtesse friponne!

Capricorne : Plutôt que par téléphone, vous préférez laisser parler votre côté brûlant et enflammé par l’écriture.

Verseau : Vous n’admettez pas que la distance puisse être une barrière au plaisir entre vous et votre partenaire. Place au téléphone rose jusqu’à ce que votre Don Juan revienne!

Poissons : Fervente adepte des longs échanges téléphoniques, vous aimez faire en sorte qu’ils deviennent de plus en plus chauds…


Etonnante candidature

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c'etait mon copain qui a commencé et au tel il ma demandé si j'ètait seul donc aprés que je suis monté et que sous ma couette j'ètait seul il ma dit de descendre ma culotte et ma dicté se que je devais faire
il a commence par me dire de ferme les yeux , de m'imagine avec moi que la main n'ètait pas la mienne mais a lui et il commence a raconte se qu'il me fait et moi je le reproduit sur moi
d'abord caresse mon corps et sur mais seins , je devais imaginé aussi que il me faisait des bisoux dans le coup et au oreil !! ensuite descendre doucement et avec un doigt qu'il me caresse le clito et il me disait je t'aime ensuite je devait aporté mon doigt a ma bouche et le sucé redescendre et il recommence sur mon clito puis de rentré un doigt , il me demandé si j'aime et me disait que tu es belle mon amour , je t'aime et il me redemande de sucé le doigt et d'un coup un non il dit deux doigt Rigolant et voila qu'il redescend et m'enfonce ces deux doigts et il dit un petit peut et pas vite puis plus profond toujours avec des je t'aime mon ange etc .... et a me demandé si sa aller et si j'aime Embarassé que oui d'un coup il me dit d'aller plus vit d'aller au maxi qu'il veut m'entendre , mais je n'est pas plus aller trop loin sinon on aller m'entendre et j'ai hu mon orgasme donc je lui est dis et que je l'aime et sa était vraiment superbe aime aime
on la refais une autre fois mais sa était gache En pleurs
il faut que la fois suivante soit réussi !!! Embarassé


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confession d'un homme sur le sexe au telephone

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Le sexe au téléphone, c'est super sympa .

Je pratique parfois et j'aime. C'est mieux, bien mieux que la masturbation, tout seul, dans son coin...

Dans ce domaine du sexe par téléphone, j'ai été initié par une femme mariée qui a aujourd'hui 39 ans qui m'avait contacté à l'époque de mon ancien blog. Presque à chaque rencontre téléphonique, je lui faisait l'amour à l'oreille. Je n'ai pu faire l'amour avec elle que 2 fois.

Puis, au printemps, j'ai rencontrée une autre femme via un forum. Très vite nous avons comminiqué par téléphone. Très vite ensuite, par téléphone, je lui ai offert de l'accompagner dans son bain... En fait, nous ne comptons plus désormais le nombre de fois où nous faisons l'amour par téléphone ! Parfois, c'est elle qui demande, parfois, c'est moi. Et, parfois, nous nous caressons ensemble... Sur la base d'un scénario que nous nous disons à l'oreille, le téléphone coincé entre l'oreille et l'oreillé pour moi... En fait, c'est de la masturbation améliorée. Elle a 56 ans et est aussi mariée.

Cet hiver, j'ai offert le même type de plaisir à une femme de 27 ans, séparée du père de son enfant, elle s'est mise au telephone rose sur le réseau pour se changer les idées. C'était, pour elle, le première fois qu'elle faisait l'amour par téléphone le matin au réveil, au bureau ou dans sa voiture. Je n'ai plus de nouvelles d'elle depuis trop longtemps. (elle ne travaille peut être plus ici)

Et toi, tu veux jouer avec moi ? Ou jouer ensemble ? Envoie moi un petit commentaire et ton horaire, que je t'appelle.

A +

L'homme masqué!


Nouveau: Tu veux une coquine en cam? c'est nouveau c'est pour toi , c'est ici  :)


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