Témoignage d’une hôtesse de téléphone rose  -  Les aventures de Clara  - Le week-end qui a du chien.

En aout 2008, un mardi matin pour être plus précise, je reçois un texto de mon meilleur ami/ amant Bastien, je vous en ai déjà parlé c’est lui qui m’a initié à la soumission et domination. Dans son message il m’invite à passer tout le week-end chez lui dans sa grande villa en précisant que j’aurai le droit à une surprise. Avec lui je m’attends à tout, il est capable d’organiser un méga gang bang avec plus de 40 personnes, des soirées lesbiennes, ou encore des après midi sodomie, sex toys, fétichiste, douleur… ou je ne sais quoi encore. Avec une grande excitation et impatience je lui réponds que ce sera comme d’habitude avec une immense joie que je viendrai.  Le reste de la semaine s’écoule doucement, j’essaie d’obtenir plus d’information sur cette fameuse fin de semaine mais il ne lâche pas un mot, ce qui à le don de me faire fantasmer, j’en rêve la nuit, je me caresse et joue avec mes godes en imaginant des scénarios plus torrides les uns que les autres, je ne tiens plus.

Vendredi matin je prépare ma valise, enfile mon tailleur jupe rouge, chemisier blanc on peut apercevoir mon soutif dentelle blanc  au travers, des bas couleur chair tenus par mon porte jarretelle blanc, je coiffe mes cheveux en chignon, chausse mes escarpins rouge et noir à boucle et zou je file au bureau. Il est 12h, je rentre à mon appartement et au même moment j’entends frapper à la porte c’est Bastien, déjà ! Génial ! Nous nous disons bonjour d’une bonne galoche, il me glisse une main au panier et me le sert fort, il sait que j’aime ça, puis il me met une claque sur le cul en me demandant de me dépêcher que le temps défile vite. Nous voilà dans son pickup direction « la villa paradis » comme je la surnomme, sur la route il en profite pour  doigter ma chatte, je sais qu’avec lui je ne dois pas être entreprenante car c’est lui qui domine et décide de faire ce qu’il veut de moi, j’attends ses ordres en scrutant le moindre de ses gestes de ses regards depuis 5 ans ( à ce moment là ) je le connais assez bien. Il m’attrape par les cheveux et me colle la tête sur sa queue bandante encore emballée dans son falzar, m’ordonne de lui sortir et de le sucer. Je m’applique donc à exécuter ses directives, lui pompant le dard goulûment, elle est si bonne sa bite veinée, cette situation m’excite, il conduit toujours et je le suce jusqu’à ce que ses couilles se vident au fond de ma gorge, une bonne dose de sperme. Le trajet se poursuit en discutant boulot et récit de nos divers plan cul, il me sort une phrase avec un petit sourire «  tu es toujours une aussi bonne chienne à ce que je vois, et ça tombe bien ».

Bastien se gare sous la pergola de la villa, me dit de ne pas bouger, il prend ma valise rentre chez lui, je patiente pendant 10 minutes, que fabrique t’il ? Il réapparait avec un collier en cuir clouté et une laisse en chaîne, ou lalalala je devine ce qu’il m’attend. Mon ami se dirige dans ma direction m’expliquant que je vais être sa chienne jusque dimanche soir, qu’à partir de cet instant je n’ai plus le droit de parler juste le droit de couiner, d’aboyer, de mordre, de grogner, bref les bruits d’un chien, que je dois me mettre entièrement nue en ne portant que ce collier. Et bien il ne me l’avait pas encore faite celle là ! Il s’agit d’une idée bien originale qui me fait mouiller. Je descends de la voiture en tenue d’Eve debout, là je reçois une grosse claque sur les fesses, je couine, il me dit : « non à 4 pattes ! » J’avance devant la porte d’entrée près à passer le seuil, Bastien me sort : «  les chiens c’est dehors ! Fais la chienne de garde, je t’appellerai pour manger » je n’y crois pas, ok en est en aout il ne fait pas frais, mais qu’en même il a du culot, et j’adore. Je m’assoie donc en attendant que mon maître m’autorise à rentrer, ce qu’il fera que ¼ d’heure plus tard environ. Un sifflement et un : «  viens la chienne, allez viens vite ! » me donne le signal que je peux rentrer dans la maison, sauf que je suis un animal et que je ne peux pas ouvrir les portes normalement il faut donc que je sautille sur la poignée afin que celle ci s’ouvre, avec mon nez je pousse suffisamment la porte pour que je me glisse à l’intérieur, mon amant m’a vu et me félicite en me caressant le dessus de la tête, je chougne comme un chiot content lui léchant les mains. A cet instant je vois deux  gamelles en inox posées sur le sol une avec de la nourriture humaine de toute sorte, du poulet, haricots verts, pain, fromage et morceau de biscuit le tout mélangé grossièrement, une autre d’eau ,j’entends «  ta gamelle est prête bon appétit », quelle surprise exquise, je mange cette préparation hors norme,  il me regarde en se branlant sous mon nez, je le fixe avec un regard coquin, des yeux de chienne aguicheurs pour lui faire comprendre que ça queue m’attire, je mets mon cul près de lui en le poussant sur ses chaussures en le trémoussant, espérant avoir le droit à quelque chose, malheureusement c’est un coup de pied dans les cuisses que j’ai eu avec comme réplique «  c’est moi qui décide t’as pas encore compris ? Et baisse les yeux, dégage dehors sale cabot! » Frustrée, je déteste être repoussée RrrrRR je grogne et fais une tête de clebs battu  et retourne dehors sur le pas de la porte. Soudain une envie d’aller pisser débarque, je me retiens un long moment mais j’en peux plus il faut que je me vidange, je repère des petits buissons avec des fleurs, décidée je fais donc pipi, seulement j’ai rien pour ressuyer mon entre jambe, comment faire ? Bien je m’assoie dans l’herbe en tapotant ma chatte, c’est drôlement agréable et pendant tout ce séjour je devrai faire mes besoins dans le jardin. Bastien jouait à l’espion et est venu m’applaudir avec un sourire  narquois, me montrant la maison tout en m’ordonnant de rentrer, il s’installe sur le canapé Chesterfield noir, me lâche :     «  couché aux pieds et pas bouger !». Allongée sur le tapis en laine je tente ma chance en lui lapant les pieds nus, en faisant des petits gémissements, et en me caressant la chatte, vu son visage cela lui plait et l’excite, il déballe sa bite la secoue, tape sa main sur sa cuisse et me sort «  viens sucer », contente de pouvoir enfin y retoucher je lui suçote son gland, enfonce doucement son gourdin dans ma bouche et la déguste doucement, PLAFFF une gifle fait rougir ma joue «  suce bien bordel, tu sais faire mieux que ça ! » je pompe plus vite et plus profond, ses mains passent dans mes cheveux me caressent, je mouille, j’aime tellement téter du pénis Humm. U coup sur le canapé m’avertit qu’il faut que je grimpe dessus, me voilà en levrette devant lui, et enfin il me touche le minou, me pénètrent de ses doigts en fouillant énergiquement, je gémie de plus en plus, il frappe mes fesses avec un journal enroulé, pose son gland sur mon anus, m’agrippe les hanches et me prend à sec d’un seul coup, j’hurle cela nous excite, mon amant me démonte le cul comme j’adore tout en me faisant subir une belle fessée. Son sperme arrive sur mon dos, mes hanches et cuisses, il chope mon collier et me jette au sol en me gueulant dessus «  tu es sale, lave toi ! » pas le choix j’utilise comme je peux ma langue pour avaler le sperme qui coule sur mon corps, impossible de tout prendre, il tire mes cheveux ouvre la porte fenêtre du salon et me revoilà à nouveau dehors, seulement cette fois si, je ne suis pas seule, Bastien  m’attend sur le côté de la villa avec un tuyau d’arrosage, me siffle «  c’est l’heure de ta toilette le corniaud» l’eau froide sur ma peau me fait frissonner, mes tétons sont durs comme de la pierre, il rigole«  belles mamelles »,  il me les mord, je crie de douleur, le voilà qui s’amuse à mettre le jet dans mon cul et ma chatte, je prends mon pied. Puis mon ami me frotte avec une serviette pour me sécher, me la passant sur la grotte en appuyant avec force, ma peau est tirée c’est douloureux mais agréable.

C’est la seule toilette que je recevrai durant cette escapade. Tous les repas je les prendrai dans ma gamelle, la nuit je dors sur le drap de bain déposé à même le sol attaché en laisse au radiateur de la salle de bain attenant à sa chambre, parfois la nuit, il vient me donner son os à ronger,  me réveillant avec des pincettes, des claques, des coups de pieds voir en malaxant fortement ma poitrine, si j’ai de la chance son sperme va dans mon gosier sinon c’est sur moi. Le dimanche venu la purée toute sèche me gratte les cheveux, me démange le dos il faut alors que je me frotte aux buissons, aux murs pour me soulager car je n’ai pas le droit de me servir de mes mains étant un toutou. Je me sens extrêmement soumise, humiliée, mais j’aime cette surprise et joue le jeu à fond. Durant ces 3 merveilleuses journées inoubliables, il m’a fouetté avec un martinet en cuir avec des nœuds au bout car j’avais le cul sale et mal torché, j’ai eu aussi le devoir d’accueillir deux visiteurs c'est-à-dire aboyer, leur sauter dessus avec les bras, frottant ma chatte sur leurs jambes, reniflant leurs postérieurs, m’allongeant sur le dos leur offrant ainsi mes seins à caresser , léchouillant leurs mains et pieds jusqu’à ce que mon maître me dise de me calmer et d’aller à ma place devant la porte d’entrée, j’ai continué à aboyer fort pour me plaindre d’être mise  à l’écart et VLAN un coup sur le nez et un bâillon boule dans la gueule ont arrêté mes plaintes. Ces visiteurs sont des connaissances libertins, ça leur à bien plu de me voir ainsi, seulement je n’ai qu’un propriétaire, fidèle je n’obéis qu’à lui, dommage pour eux et pour moi je dois dire car j’aurai kiffé  un défonçage à  4. J’ai dû jouer  à la baballe, et croyez moi passé 2 jours 1/2 à 4 pattes mes genoux, paumes de main  et mon dos n’en pouvaient plu. J’ai regardé une seconde fois dans les yeux mon dresseur ce qu’il  m’a valu un coup de pied dans les côtes, j’ai retenu la leçon et je n’ai plus recommencé, le matin au réveil c’est avec les dents que je devais lui apporter ses chaussons. Plusieurs sodomies bien violentes m’ont fait jouir explosivement à tel point que je me suis découverte femme fontaine comme jamais je l’ai été auparavant ce qui m’a valu des gifles et un nettoyage par le moyen buccal de ce que j’avais souillé.

Quelle drôle de situation que de devenir un canidé en plein dressage, la fin du séjour chez lui arrivant à terme, j’avais décidé moi aussi de lui faire une surprise, je me doutais bien qu’il voudrait une dernière pipe avant que l’on se quitte, je suis réputée comme étant une excellente pompeuse, après que mon amant ai déposé ma valise dans la benne, d’ailleurs je me demande pourquoi j’ai  pris autant de soin à la préparer car elle n’ a jamais été ouverte, il veut que je monte sur la banquette de son pickup pour  me raccompagner chez moi, je lui lèche la main en passant,  lui suce le doigt pour lui grossir la queue, cela fonctionne, il déboutonne son froc, sort son membre à moitié raide et me demande une fellation, je la prends donc en bouche commence à bien m’en occuper et je sers les dents en grognant tel un chien avec son os, à cet instant dès qu’il bouge je sers un peu plus, il me frappe sur la tête je ne lâche pas au contraire je sers un peu plus, il attend et gémit de plaisir, c’est moi qui décide et je re-pompe goulûment jusqu’à ce que Bastien gicle son foutre en remplissant  ma gorge. Il me tend une robe que j’enfile, m’embrasse en pleine bouche tout en m’enlevant le collier, je récupère ma liberté et il me félicite de mon caractère de chienne qu’il apprécie inlassablement.

Rentrée chez moi, seule, je repense à cette belle fin de semaine, j’avais déjà été son animal domestique quelques heures lors d’un trip seulement cette expérience  a vraiment été fatigante, frustrante, excitante, incroyable… Humm depuis je me sens changé à jamais, je suis une vraie chienne c’est officiel et je compte bien le rester!

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